Technologie à base de transistor HEMT-GaN pour des circuits MMIC opérant en bande E (H/F)
Référence : UMR8520-FRELEF-178
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
- Localisation : 59652 VILLENEUVE D ASCQ (France)
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
- Nature du contrat Non renseigné
- Expérience souhaitée Non renseigné
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Rémunération (fourchette indicative pour les contractuels) 2200 euros bruts mensuels € brut/an
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non renseigné
- Télétravail possible Non renseigné
Vos missions en quelques mots
Sujet de thèse :
Les technologies des communications hyperfréquence ont connu une croissance extraordinaire durant les dernières décennies. Le nitrure de gallium (GaN) a été identifié comme le semiconducteur qui prendra le relai du silicium (Si) pour répondre aux besoins de plus en plus exigeants du marché. Ceci s’explique par les paramètres physiques du matériau GaN qui dépassent largement ceux du Si. L’objectif de cette thèse est la mise au point de transistors HEMT-GaN à faible longueur de grille à enrichissement qui permettra la fabrication de circuits fonctionnant en haute fréquence. Les travaux de cette thèse se feront dans le cadre du projet ANR Sky-GaN. Dans ce contexte, notre objectif est la fabrication et la modélisation de transistor HEMT-GaN Normally-off ayant des fréquences de coupure supérieures à 250GHz. Ces composants seront utilisés comme composants de base pour fabriquer des amplificateurs de puissance MMIC opérant dans la bande E.
Contexte :
Le candidat(e) recruté(e) participera au ‘process’ de fabrication, modélisera les composants fabriqués et réalisera le design kit de la technologie mis au point dans le cadre de cette thèse. Il doit être très motivé par la recherche expérimentale et avoir de bonnes bases en physique des composants et des mesures RF. Il doit être autonome, avoir le sens de l’expérimentation et du travail en équipe.
Cette thèse est une formation en cotutelle entre l’université de Lille (France) sous la direction de Kamel Haddadi, Professeur et Nicolas Defrance, Maitre de Conférences (CNRS-UMR8520) et l’Université de Sherbrooke (Canada) sous la direction de Hassan Maher, Professeur (CNRS-UMI3463). Les travaux de recherche prévus dans le cadre de cette thèse auront lieu au laboratoire IEMN (Institut d’Électronique de Microélectronique et de Nanotechnologies), Unité mixte de Recherche (Université de Lille, CNRS, Polytech’Lille) et au laboratoire LN2 (Laboratoire Nanotechnologies Nanosystèmes), Unité Mixte Internationale CNRS installée dans les laboratoires de l’Université de Sherbrooke (Québec, Canada). Le candidat sera amené à travailler en alternance de 6 mois sur les deux sites.
Profil recherché : Ingénieur, Master 2 (M2) ou équivalent. Compte-tenu du caractère pluridisciplinaire du sujet, différents profils de candidats sont recevables : électronique, électromagnétisme, matériaux, semi-conducteurs.
Un très bon niveau d’expression écrite et orale en français et en anglais est attendu, de même qu’un goût marqué pour l’expérimentation. Des qualités relationnelles sont requises ainsi que de la rigueur et de la curiosité scientifique.
Profil recherché
Contraintes et risques :
Déplacements réguliers au Canada
Niveau d'études minimum requis
- Niveau Niveau 7 Master/diplômes équivalents
- Spécialisation Formations générales
Langues
- Français Seuil
Qui sommes-nous ?
Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
À propos de l'offre
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Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
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Vacant
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Chercheuse / Chercheur