Chef.fe du bureau du sauvetage et de la surveillance du trafic maritime et portuaire H/F
Référence : 2024-1631357
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Direction Générale Des Affaires Maritimes, de la Pêche et de l'Aquaculture (DGAMPA)
- Localisation : TOUR SEQUOIA 92055 PARIS LA DEFENSE CEDEX
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert aux titulaires et aux contractuels
- Expérience souhaitée Non renseigné
-
Rémunération (fourchette indicative pour les contractuels) Non renseigné
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non
- Télétravail possible Oui
Vos missions en quelques mots
Le ou la chef(fe) du bureau encadre une équipe de 9 cadres et 2 agents pour assurer le soutien des 7 CROSS et des 2 centres de secours maritime (Noumea et Papeete). Il supervise le fonctionnement du centre français de contrôle de mission Cospas-Sarsat (FMCC), localisé à Toulouse. Il élabore et met en oeuvre la réglementation relative au fonctionnement et aux missions des capitaineries qui relèvent de l'État.
Son rôle est :
- D'animer, organiser et contrôler l'activité du bureau ;
- D'animer et assurer le pilotage du réseau des CROSS et des capitaineries ;
- D'assurer le suivi des dossiers en relation avec les :
directions ministérielles et services interministériels ;
représentations françaises (OMI, AISM et UE) ;
services déconcentrés (CROSS, DIRM, DDTM/DML, PREMAR) ;
partenaires opérationnels de niveau central (marine nationale, SNSM...) ;
partenaires industriels.
Liaison hiérarchique :
Le ou la chef.fe du bureau du sauvetage et de la surveillance du trafic maritime et portuaire est placé sous l'autorité du sous-directeur du sauvetage, de la navigation et du contrôle.
Il est en relation avec les acteurs du réseau des CROSS et des capitaineries : DIRM / DM / DTAM / DDTM, CEREMA, AISM, CMVRH, ESP-Mer.
Profil recherché
Le ou la chef(fe) de bureau doit disposer :
- d'un sens de l'organisation ;
- d'une aptitude à l'animation et à la négociation ;
- d'un sens de l'organisation et de la priorisation ;
- de bonnes capacités d'analyse et de synthèse ;
- d'une maîtrise de l'anglais maritime ;
- de connaissances relatives à la commande et aux marchés publics ;
- d'une bonne capacité rédactionnelle ;
- d'une aisance et d'une clarté d'expression orale en public ;
- d'une bonne connaissance de l'organisation ministérielle.
Le profil recherché est un(e) cadre disposant d'un bon niveau d'expertise et de connaissance du monde maritime, notamment des CROSS et des ports ainsi que de l'organisation de l'action de l'État en mer.
Éléments de candidature
Documents à transmettre
Personnes à contacter
- jean-pascal.devis@mer.gouv.fr
- vincent.lassourd@mer.gouv.fr
Qui sommes-nous ?
Nos missions
La direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) est une administration centrale tournée vers le développement durable des activités maritimes et littorales. Elle soutient et anime une administration maritime de 2 950 agents, en administration centrale et dans les services déconcentrés, répartis sur toutes les façades maritimes françaises, tant dans l’Hexagone que dans les outre-mer. Au service de l’ensemble de la communauté maritime, la DGAMPA élabore et coordonne la mise en œuvre de la stratégie nationale de la mer et du littoral, réaffirmant la place de la mer au sein des politiques publiques. Grâce à la planification maritime, elle organise le partage de l’espace maritime en conciliant des usages de plus en plus variés (des énergies marines renouvelables aux câbles sous-marins en passant par le transport maritime, la pêche ou encore le nautisme), tout en veillant à une meilleure protection de nos écosystèmes marins.
Nos enjeux essentiels
Présente sur tous les océans du monde, la France bénéficie d’un ensemble d’écosystèmes marins et littoraux particulièrement riche et diversifié. L’espace maritime français s’étend sur plus de 10 millions de km² – plus de 20 fois la surface de la métropole – dont 97 % se situent outre-mer. La France abrite également la quatrième plus grande surface de récifs coralliens au monde. Particulièrement dynamique, l’économie bleue représente quant à elle près de 700 000 emplois directs et indirects et rassemble des secteurs économiques variés tels que les transports et services maritimes, la croisière, la pêche, la conchyliculture, la plaisance, les loisirs nautiques et le tourisme littoral, les services off-shore, l’industrie navale et nautique ou les ports. Elle inclut aussi de nombreux secteurs émergents tels que les biotechnologies bleues et les énergies marines renouvelables.
Nos 9 politiques publiques :
- soutenir et promouvoir le développement du pavillon national et de la compétitivité des entreprises françaises de transport et de service maritimes
- organiser et planifier le développement durable de l’économie maritime, coordonner les politiques d’intervention territoriale relatives à la mer et à la gestion intégrée des zones côtières ;
- conduire la feuille de route de décarbonation du maritime, animer et coordonner les politiques en matière de recherche et d’innovation maritimes, contribuer au développement de l’industrie nautique et navale ;
- élaborer et mettre en œuvre la politique de sécurité et de sûreté des navires, de lutte contre les pollutions par les navires, de signalisation (phares et balises) et de sauvetage en mer ;
- coordonner la mise en œuvre des politiques de surveillance et de contrôle relatives à la navigation maritime, à la pêche ou encore à l’environnement marin ;
- définir et mettre en œuvre la politique de gestion durable des ressources halieutiques, des produits de la mer et de l’aquaculture marine et continentale ; assurer les négociations communautaires et internationales dans ces domaines ;
- conduire la politique de formation maritime et de l’emploi des gens de mer, définir la politique relative à la réglementation du travail et aux conditions de travail à bord des navires, à la prévention des risques professionnels des gens de mer et à la protection sociale des gens de mer ;
- réglementer et encadrer la pratique des activités maritimes, y compris nautiques et de plaisance ;
- contribuer aux politiques relatives au tourisme, à la pratique des sports nautiques ou encore à la protection du patrimoine maritime.
À propos de l'offre
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M Jean-Pascal DEVIS, sous-directeur du sauvetage, de la navigation et du contrôle.
Mail : jean-pascal.devis@mer.gouv.fr
tel : 01 40 81 37 32
M Vincent LASSOURD, chef du bureau du sauvetage et de la surveillance du trafic maritime et portuaire.
Mail : vincent.lassourd@mer.gouv.fr
tel : 01 40 81 71 96
RH : mobilites.mvsrh2@mer.gouv.fr
Numéro de poste : E000024980 -
Le ou la chef(fe) est soumis(e) aux dispositions statutaires d'un agent en administration centrale. Il ou elle dispose d'un bureau individuel, d'un ordinateur portable avec sa station d'accueil, d'un poste téléphonique et d'un téléphone mobile.
Il ou elle est amené(e) à réaliser quelques déplacements en métropole.
Le télétravail est possible dans la limite de trois jours hebdomadaires.
Groupe de fonction suivant la catégorie du candidat :
AE 2
IPEF 2.1
AAE 2.1
ITPE 2.1
Poste soumis à une durée maximale de 8 ans (cf. arrêté du 6 janvier 2023, NOR : TREK2232822A) -
Ce poste est ouvert à tout candidat compétent, qu'il soit fonctionnaire ou non. Le recrutement d'un candidat non fonctionnaire se ferait sur le statut de contractuel, a priori pour un contrat de 3 ans (à confirmer avec le recruteur), après constat de l'absence de candidature de fonctionnaire adaptée (fondement juridique : 2° de l'article L.332-2 du code général de la fonction publique de L'État). A l'issue du contrat de 3 ans, il est envisageable de poursuivre en CDI ou par un autre contrat de 3 ans, sous réserve de l'accord des parties.
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Vacant à partir du 01/09/2024
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Responsable sectorielle / sectoriel