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CDD Chercheur/Post-doc - Identification et modélisation de l’influence des défauts - internes et surfac

Référence : UPR3346-NADMAA-120

  • Fonction publique : Fonction publique de l'État
  • Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
  • Localisation : 86961 CHASSENEUIL DU POITOU (France)
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  • Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
  • Nature du contrat Non renseigné
  • Expérience souhaitée Non renseigné
  • Rémunération (fourchette indicative pour les contractuels) Entre 2991 € et 4166 € bruts mensuels selon expérience € brut/an
  • Catégorie Catégorie A (cadre)
  • Management Non renseigné
  • Télétravail possible Non renseigné

Vos missions en quelques mots

Missions :
Le CNRS recrute au sein de l'Institut Pprime, basé au Futuroscope, un Chercheur ou une Chercheuse dans le cadre d'une étude sur la modélisation de la tenue en fatigue d'un acier moulé avec défaut interne en collaboration avec le CETIM
Les règles actuelles utilisées par les concepteurs dans plusieurs secteurs industriels pour la nocivité des défauts en fatigue sont souvent empiriques, que ce soit pour la définition initiale ou en stade de dérogation. Par ailleurs la nocivité des défauts en fatigue est fortement dépendante de 5 paramètres dont l’impact est très différent selon le matériau [Nadot 2022]. Il est donc très délicat d’améliorer les règles de prise en compte des défauts sans une phase expérimentale ciblée. Notre connaissance actuelle permet cependant de réduire la partie expérimentale pour bien identifier directement le rôle de certains paramètres critiques.
L’objectif de ce projet est de prendre en compte l’influence d’un défaut de surface ou interne dans un calcul en fatigue (HCF) pour évaluer la criticité de ce défaut à partir d’un observable CND. Le CETIM dispose d’une base de données importante sur l’influence des défauts internes sur la fatigue d’un acier moulé. En complément, l’Institut P’ dispose d’une base de données importante sur la nocivité des défauts en fatigue pour de nombreux matériaux et plusieurs procédés. Pour finaliser l’identification d’un modèle à même de simuler l’impact d’un défaut interne ou surfacique sur la tenue en fatigue HCF, il convient de compléter par des essais spécifiques permettant d’identifier clairement le rôle de la morphologie des défauts ainsi que le rôle de l’environnement. A partir de ces informations, et sur la base d’un modèle analytique existant [Nadot 2020], il sera possible de développer un module spécifique du modèle dédié aux défauts de fonderie dans les aciers moulés. Ce module ayant vocation à être applicable à l’échelle d’une structure complète [Rotella 2017].

Activités :
Le programme de recherche sera structuré en quatre points qui évolueront en fonction des résultats de chaque phase.
1) Comment représenter la morphologie du défaut ?
Les défauts réels ont des morphologies très différentes (retassures, pore gazeuse, film d’oxyde, inclusion, ...). Il est essentiel de connaitre l’impact de cette morphologie sur la tenue en fatigue, en fixant tous les autres paramètres (taille, position, chargement). Pour cela une campagne expérimentale ciblée sera réalisée sous air, sur des éprouvettes de laboratoire et sur des défauts artificiels de surface sollicités dans le domaine HCF sous air. Les défauts produits devront représenter différentes morphologies afin de comprendre si la limite de fatigue est pilotée par la géométrie locale ou par la géométrie globale du défaut [Rotella 2020]. Pour attendre cet objectif il faut pouvoir fabriquer un défaut de surface ‘macroscopique’ puis ajouter au fond de ce défaut un ou plusieurs petits dé
Voir plus sur le site emploi.cnrs.fr...

Profil recherché

Competences :
Le candidat ou la candidate devra posséder un Doctorat en mécanique des matériaux.
Contraintes et risques :
Des déplacements de courte durée, en France et à l'étranger, sont à prévoir.

Niveau d'études minimum requis

  • Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents
  • Spécialisation Formations générales

Langues

  • Français Seuil

Qui sommes-nous ?

Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.

En savoir plus sur l'employeur

À propos de l'offre

  • Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.

  • Vacant
  • Chercheuse / Chercheur

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