Analyste "Section affaires réservées" (SNRP3) H/F
Référence : 2024-1536318
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
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Employeur :
Direction de l'administration pénitentiaire - Administration Centrale
Ministère de la justice Direction de l'administration pénitentiaire Service national du renseignement pénitentiaire (SNRP) Bureau de l'investigation et de l'analyste (SNRP3) - Localisation : 35 rue de la Gare, 75019 PARIS
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert aux titulaires et aux contractuels
- Expérience souhaitée Non renseigné
-
Rémunération (fourchette indicative pour les contractuels) Non renseigné
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Oui
- Télétravail possible Non renseigné
Vos missions en quelques mots
Placé sous l’autorité hiérarchique du chef de la division 1 du Bureau de l’investigation de et l’analyse, la section Affaires réservées est chargée de conduire les investigations sur des dossiers sensibles au sein du SNRP, en lien avec le cabinet du directeur de l’administration pénitentiaire, la sous-direction des ressources humaines et les services pénitentiaires déconcentrés
La section des Affaires Réservées est chargée de :
- Prendre en compte les signalements remontés au service du renseignement pénitentiaire dans le cadre des canaux dédiés ;
- Procéder à l’évaluation du degré de dangerosité et de l’urgence de la menace constituée par lesdits signalements ;
- Enrichir lesdits signalements afin d’en permettre la transmission à l’échelon décisionnel ;
- Mener les investigations autorisées sur les profils suivis ;
- Répondre aux sollicitations partenariales ;
- Rédiger des notes de profils et d’investigations ;
- Apporter un soutien opérationnel au bénéfice de l’activité quotidienne des cellules interrégionales du renseignement pénitentiaire (CIRP).
Placé au sein de cette section, l’analyste aura notamment pour mission :
- Assurer le suivi et le relevé des canaux de transmission des signalements ;
- Capitaliser les informations ainsi que celles obtenues par le réseau ou les services partenaires en renseignant la base de données du renseignement pénitentiaire dédiée;
- Fiabiliser et exploiter les informations recueillies ;
- Participer, en appui de la Chefferie de section, à l’évaluation des menaces identifiées ;
- Participer, en appui de la Chefferie de section, aux interventions connexes (formation, présentation) ;
- Répondre aux sollicitations des services déconcentrés sous l’autorité et le contrôle de la chefferie section ;
Le titulaire du poste devra faire preuve d’un intérêt manifeste pour l’investigation et l’analyse, et d’un grand sens de la discrétion. Il devra par ailleurs bénéficier d’une excellente maîtrise des applicatifs fermés pénitentiaires.
Profil recherché
Connaissances :
Connaissance du fonctionnement des établissements et de la règlementation pénitentiaire
Expérience préalable préférable dans le domaine du renseignement
Savoir-faire :
Aptitude à travailler en transversalité et en équipe : avec les services centraux et déconcentrés de l’AP, les services partenaires extérieurs de sécurité (police, gendarmerie, douane etc.) et de renseignement et les autorités judiciaires
Très bonnes qualités relationnelles
Grande disponibilité
Très forte discrétion professionnelle
Savoir-être :
Sens de l’analyse
Esprit de synthèse et très bonnes qualités rédactionnelles
Capacité d’organisation, d’adaptation et d’autonomie
Maîtrise des applicatifs informatiques tableurs et traitement de texte
Éléments de candidature
Personnes à contacter
Qui sommes-nous ?
Service de renseignement au sens de l’article L. 811-4 du code la sécurité intérieure depuis le 1er février 2017, le service national du renseignement pénitentiaire est constitué d’un échelon central au sein de la direction de l’administration pénitentiaire, des dix cellules interrégionales du renseignement pénitentiaires (CIRP) au sein des directions interrégionales des services pénitentiaires, des délégations locales au renseignement pénitentiaire dans les établissements et des cadres référents du renseignement pénitentiaire au sein de SPIP.
Depuis le 15 juin 2019, le renseignement pénitentiaire, restructuré sous forme de service à compétence nationale, est placé sous l’autorité hiérarchique directe du directeur de l’administration pénitentiaire. Dès lors, l’échelon central du service du renseignement pénitentiaire est chargé d’animer et de superviser, au niveau national, les actions des unités déconcentrées du renseignement pénitentiaire.
Descriptif du service
Service de renseignement au sens de l’article L. 811-4 du code la sécurité intérieure depuis le 1er février 2017, le service national du renseignement pénitentiaire est constitué d’un échelon central au sein de la direction de l’administration pénitentiaire, des dix cellules interrégionales du renseignement pénitentiaires (CIRP) au sein des directions interrégionales des services pénitentiaires, des délégations locales au renseignement pénitentiaire dans les établissements et des cadres référents du renseignement pénitentiaire au sein de SPIP. Depuis le 15 juin 2019, le renseignement pénitentiaire, restructuré sous forme de service à compétence nationale, est placé sous l’autorité hiérarchique directe du directeur de l’administration pénitentiaire. Dès lors, l’échelon central du service du renseignement pénitentiaire est chargé d’animer et de superviser, au niveau national, les actions des unités déconcentrées du renseignement pénitentiaire.
Le renseignement pénitentiaire repose sur la collecte, le traitement et la diffusion d’informations en lien avec les risques d’atteinte à la sécurité de l’administration pénitentiaire, aux intérêts de la société, sous des finalités légalement encadrées de prévention contre le terrorisme, de prévention contre la criminalité et la délinquance organisés, et de prévention contre les évasions, de maintien de la sécurité et du bon ordre dans les établissements pénitentiaires.
À propos de l'offre
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Groupe RIFSEEP : 4
Restauration : restaurant administratif sur place
Accessibilité en transport / Parking : RER, métro, bus / parking souterrain pour voitures et vélos
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Poste soumis à une habilitation au Secret de la défense nationale OUI ✔ NON ☐
Le poste nécessitant d'accéder à des informations relevant du secret de la défense nationale, l'agent non titulaire fera l'objet d'une procédure d'habilitation, au niveau très secret, conformément aux dispositions des articles R.2311-1 et suivants le Code de la défense et de l'IGI 1300 SGDSN/PSE du 09 août 2021. L'obtention de cette habilitation revêt un caractère obligatoire. Le maintien d'un agent au sein du service est conditionné statutairement par son habilitation au secret de la défense nationale.
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Vacant à partir du 01/11/2024
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Analyste du renseignement