Ministère de l’Intérieur

4660 offres d’emploi

Qui sommes-nous ?

Le ministère de l’Intérieur assure la sécurité des citoyens au quotidien. Il est aussi un acteur essentiel de la vie démocratique en organisant les élections et en garantissant les libertés publiques.

Sur tout le territoire, les préfectures organisent la vie locale sous l’autorité du préfet. Représentant de l’État dans le département, le préfet est un élément-clé du développement local. Ses missions sont les suivantes :
– l’action interministérielle et la coordination des politiques publiques
– la sécurité des personnes et des biens
– la citoyenneté, la réglementation et la garantie des libertés publiques
– le contrôle administratif des collectivités locales et des organismes publics.

Chiffres clés

282 922

Agents

999

apprentis

40,7

Âge moyen

1 500

Recrutements par an en moyenne (hors Police nationale et Gendarmerie nationale)

Nous découvrir en images

Rejoindre le ministère de l’Intérieur, c’est agir ensemble au service des usagers.

Métier - Chargée d'exploitation immobilière

Présentation du métier de chargée d’exploitation immobilière, par Alexandra

Alexandra parle
Quand vous êtes sous la douche et que vous avez un coup de téléphone à 7h du matin parce que le tableau électrique du site a pris feu et qu’on vous appelle en urgence et vous êtes en train d’appeler l’entreprise pour avoir l’astreinte au plus vite.

Bonjour, je m’appelle Alexandra Pelhate, je suis contrôleur des services techniques sur un poste de chargé d’exploitation à la préfecture de police depuis quatre ans.

Titre : « Les métiers du SGAMI / Chargée d’exploitation immobilière »

Alexandra parle
Je bossais en mairie à l’époque dans la Fonction Publique Territoriale. J’ai voulu changer de métier, donc je suis devenue peintre en bâtiment à ce moment-là. J’ai travaillé un petit peu dans le privé. J’ai passé les concours pour entrer au ministère de l’Intérieur.

Dans le privé, je n’ai été « que » ouvrier. Ce métier-là, de construction de travaux, je ne l’avais jamais pratiqué avant de rentrer au ministère de l’Intérieur.
Je m’occupe de tout l’entretien-maintenance des sites police sur le département de l’Essonne.

Tout ce qui concerne les contrôles réglementaires, et nous devons ensuite faire de la maintenance générale.
Par exemple sur un des sites, sur les dernières années, on a refait entièrement les cuisines.
Nous, c’est vraiment l’entretien, la maintenance régulière et quotidienne des usagers bâtimentaires.

Les visites régulières sur le site, ça va être surtout avec des entreprises qui viennent soit nous chiffrer des travaux qu’on prévoit de faire, soit faire le prévisionnel des gros travaux qu’on a besoin ou pour les dépannages usuels qu’on peut avoir sur tous les bâtiments.

On leur apporte des solutions techniques et la faisabilité du projet.
La connaissance bâtimentaire, elle est super importante.

Le poste de chargée d’opérations, il y a bien 70 % du temps où on est sur le terrain. Et puis après, il y a 30 % de ma tâche qui est administrative, au niveau des devis, des demandes…

On marche beaucoup, il faut être confortable.

Métier - Chargée d'exploitation immobilière

Présentation du métier de chargée d’exploitation immobilière, par Alexandra

Alexandra parle
Quand vous êtes sous la douche et que vous avez un coup de téléphone à 7h du matin parce que le tableau électrique du site a pris feu et qu’on vous appelle en urgence et vous êtes en train d’appeler l’entreprise pour avoir l’astreinte au plus vite.

Bonjour, je m’appelle Alexandra Pelhate, je suis contrôleur des services techniques sur un poste de chargé d’exploitation à la préfecture de police depuis quatre ans.

Titre : « Les métiers du SGAMI / Chargée d’exploitation immobilière »

Alexandra parle
Je bossais en mairie à l’époque dans la Fonction Publique Territoriale. J’ai voulu changer de métier, donc je suis devenue peintre en bâtiment à ce moment-là. J’ai travaillé un petit peu dans le privé. J’ai passé les concours pour entrer au ministère de l’Intérieur.

Dans le privé, je n’ai été « que » ouvrier. Ce métier-là, de construction de travaux, je ne l’avais jamais pratiqué avant de rentrer au ministère de l’Intérieur.
Je m’occupe de tout l’entretien-maintenance des sites police sur le département de l’Essonne.

Tout ce qui concerne les contrôles réglementaires, et nous devons ensuite faire de la maintenance générale.
Par exemple sur un des sites, sur les dernières années, on a refait entièrement les cuisines.
Nous, c’est vraiment l’entretien, la maintenance régulière et quotidienne des usagers bâtimentaires.

Les visites régulières sur le site, ça va être surtout avec des entreprises qui viennent soit nous chiffrer des travaux qu’on prévoit de faire, soit faire le prévisionnel des gros travaux qu’on a besoin ou pour les dépannages usuels qu’on peut avoir sur tous les bâtiments.

On leur apporte des solutions techniques et la faisabilité du projet.
La connaissance bâtimentaire, elle est super importante.

Le poste de chargée d’opérations, il y a bien 70 % du temps où on est sur le terrain. Et puis après, il y a 30 % de ma tâche qui est administrative, au niveau des devis, des demandes…

On marche beaucoup, il faut être confortable.

Immersion 360 avec le RAID

(Bruits de tirs) Salle d’entraînement
« Je suis arrivé »
« OK » (Instructions)

(Bruits du vent) Dans un hélicoptère
Un homme saute en parachute

(Bruits de tirs) Salle d’entraînement
« En position ! »

(Bruits de respiration d’un chien) Entraînement à l’attaque
« Tu restes ! »
(Bruits grognement du chien)

(Bruits du vent) saut en parachute

Mike, analyste à la DGSI

Portrait de Mike à la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI)

« On est dans un monde en perpétuelle évolution. Notre service pense beaucoup à l’avenir, au futur. Il faut être capable de voir l’évolution du monde tel qu’il est pour pouvoir prévenir les cas de figure qui se présenteront plus tard. »

Carton animé « Lumières sur les métiers CYBER »

Mike : «  Bonjour, je suis Mike, j’ai 32 ans. Je suis analyste judiciaire en traces numériques à la DGSI.
Mon métier consiste à analyser et extraire des preuves sur des supports numériques.

Pour le parcours de recrutement, j’ai consulté la Place de l’emploi public où toutes les fiches de poste pour les techniciens SIC sont publiées.

J’ai constaté qu’il y avait des postes ouverts à la Direction générale de la sécurité intérieure. J’ai cliqué sur le lien, j’ai regardé la fiche de poste. Bon malheureusement, il y avait écrit « confidentiel » partout. Mais c’est assez accessible. Du coup j’ai envoyé mon CV avec une lettre de motivation. Instantanément, j’ai été rappelé par les services. Après enquête administrative, j’ai été recruté.

J’ai un parcours assez atypique. J’ai fait un BAC sciences et technologies de la gestion des systèmes d’information. Avec deux années de licence en informatique en conception développement et validation d’applications. Ensuite, j’ai fait quelques petits boulots dans le civil, et je me suis engagé au sein des armées.

Je suis entré dans cette direction parce que c’était une direction qui est prestigieuse tout d’abord. Le poste que j’occupe demande une très forte mobilité. On est toujours pris par le temps, le temps des gardes à vue, par les spécificités des missions, ou bien sûr on peut traiter des affaires courantes mais aussi des scènes d’attentats où là il faut être vraiment rapide. Il faut être capable d’extraire tous les scellés numériques qui sont à notre disposition, de trouver des preuves, donner des éléments aux enquêteurs pour qu’ils avancent dans l’enquête et qu’ils puissent éviter le pire.

J’aime beaucoup ce travail. D’abord pour l’humain, les équipes sont vraiment soudées. On est très proches les uns avec les autres. On a le budget pour réussir à faire les choses et on a la confiance de nos chefs pour pouvoir travailler dans de bonnes conditions.

Pour réussir sur mon poste, ce n’est pas vraiment une question de compétences. C’est surtout le savoir-être. Les compétences, elles s’acquièrent avec le temps. Je suis dans un laboratoire où il y a des profils différents, qui viennent de partout. Ça peut être des policiers, ça peut être des anciens militaires comme moi, ça peut être des techniciens SIC, des gens de la Police technique et scientifique et des contractuels issus de la société civile.

Comme je l’ai dit, on ne cherche pas forcément des compétences hors normes. On cherche surtout des savoir-être.

Qui ne tente rien n’a rien. »

Carton « La DGSI recrute »
Carton avec logo « Ministère de l’Intérieur »

Nos atouts

Contribuer à la transformation numérique de l’État

Très tôt, le ministère de l’Intérieur a utilisé les nouvelles technologies : grands fichiers informatiques dès les années 80 (permis de conduire, fichier des personnes recherchées), réseaux radios mobiles numériques propriétaires dans les années 90, mobilité numérique, développement de l’informatique en nuage (Cloud interne) dans les années 2000 et 2010.

De nombreux domaines d’activité

Le ministère de l’Intérieur propose une grande diversité de métiers. Que vous souhaitiez travailler dans le domaine de la sécurité intérieure, de la sécurité civile, du numérique, de la cybersécurité, du renseignement… nos offres de recrutement sont nombreuses et variées.

Contribuer à la réussite des grands événements sportifs internationaux

Coupe du monde de rugby à l’automne 2023 et Jeux Olympiques et Paralympiques à l’été 2024 : des milliers de spectateurs attendent impatiemment ces deux événements sportifs internationaux de grande ampleur. Pour assurer le succès de ces événements festifs, le ministère de l’Intérieur renforce ses effectifs de policiers, de gendarmes et de spécialistes du numérique.

Un ministère engagé pour l’égalité professionnelle et la diversité

Doublement labellisé par l’Association française de normalisation (AFNOR) pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes mais aussi pour la diversité, le ministère de l’Intérieur s’engage à protéger ses agents contre les discriminations.

Agir pour le développement durable

Dès 2003, le ministère de l’Intérieur a créé la Mission développement durable pour engager l’ensemble de ses services dans l’éco-responsabilité. Cette mission coordonne notamment le dispositif Services Publics Écoresponsables. Elle communique et diffuse les bonnes pratiques à l’ensemble des services et sensibilise aux questions de développement durable.

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